Tous les systèmes d’osmose inverse ne sont pas équivalents !
Nous avons une certaine idée de la qualité d’une eau osmosée et avons fixé la barre très haut.
La qualité de l’eau obtenue après traitement dépend de la composition des différents modules, filtres et matériaux utilisés pour la construction de l’appareil à osmose inverse, ainsi que de l’efficacité de la membrane semi-perméable d’osmose inverse utilisée.
Certains assembleurs ou revendeurs (non compétents ou peu scrupuleux) commercialisent des membranes ayant des capacités de retenue de 80-85 % au même prix que des membranes ayant une capacité de retenue de 95 – 97 % et plus. Ce taux peut varier selon les éléments à retenir.
Il est important que l’osmoseur soit équipé d’un système automatique ou semi-automatique pour le rinçage séquentiel de la membrane. Cette automatisation est préférable au procédé manuel pour éviter au maximum l’incrustation bactérienne et minérale de la membrane, mais aussi pour des raisons de surveillance de la qualité de l’eau et d’astreinte de manipulation de l’appareil. Le rejet doit être équipé d’un système anti-retour afin d’éviter les remontées de colonies bactériennes vers la membrane.
Les systèmes haut de gamme disposent en général d’un résistivimètre incorporé, permettant de contrôler à tout moment la qualité de l’eau osmosée et de savoir à quel moment changer la membrane.
Un vendeur sérieux proposera, par exemple, un rappel périodique pour le changement des différents filtres, ou encore le contrôle et la mesure de la qualité de l’eau en Bio-électronique de Vincent (BEV).
Pour optimiser la qualité de l’eau osmosée obtenue, on peut ajouter à la sortie de l’eau un système magnétique de revitalisation ou un vortexeur comme le Kollitor.
L’osmose inverse de qualité est une question de spécialiste. Votre vendeur doit prioritairement être un conseiller qui tient compte à la fois de vos besoins, de votre mode de vie et que la qualité de votre eau du robinet afin de pouvoir proposer un appareil adapté à chaque besoin. Tout spécialiste compétent devrait disposer des appareils de mesure nécessaires afin de pouvoir remettre au client, avant et après installation d’un système d’osmose inverse, un bioélectronigramme avec les résultats et conclusions.
[highlight]Attention ![/highlight] Certains vendeurs peu scrupuleux utilisent des artifices tels que la catalyse de l’eau pour démontrer aux éventuels acheteurs la qualité déplorable de leur eau de boisson avant traitement. Or toute eau contenant un minimum de minéraux ou d’autres éléments, bons ou mauvais, réagit à ce trucage par brunissement. Cet artifice démonstratif est à condamner formellement.
Bonjour
Connaissez vous l’eau Pohyel? Pourriez-vous me donner votre avis? J’ai lu avec beaucoup d’intérêt votre article
Bonjour,
Non, désolée, je ne connais pas ; je ne peux donc vous donner d’avis dessus.
Cordialement,
Josepha SCHERRER, Gérante
Bonjour,
J’ai lu sérieusement vos commentaire. Ayant des problèmes de rein, je pense investir dans un osmoseur inverse.
Nous avons été à la foire de la roche sur foron dans le 74. Que de choix de marques. Nous nous sommes installé au stand de EWI WATER. Cette marque semble correcte, étant donnée que nous avions déjà acheté un adoucisseur d’eau. Donc le prix de l’osmoseur inverse me semble éxagéré: 1500 euros posé. Qu’en pensez vous?
Bonjour Madame,
Je suis désolée, mais je ne peux pas vous renseigner ; je suis allée faire un tour sur leur site Internet, mais n’y figure aucun descriptif technique. Il m’est donc impossible de vous donner un avis quelconque…
Il faut bien faire attention à la qualité des matériaux utilisés, au taux de rétention des membranes, au nombre de pré et post filtres en place, au rejet de l’appareil (certains systèmes peuvent rejeter jusqu’à 12 voire 17 lires d’eau pour un litre d’eau osmosée, autant dire que c’est loin d’être écologique !), à la fréquence de remplacement des différents consommables et à leur prix, etc.
Cordialement,
Josepha Scherrer, Co-Gérante